En sortant du travail Mardi dernier je suis passée au supermarché acheter un unique article : un pot de Nutella. J'ai du passer pour une accro ... mais non, je voulais essayer une idée qui me trottait dans la tête depuis un moment.
Encore une recette très simple puisqu’il s'agit d'un quatre-quarts : un quart d'œufs, de sucre, de farine et de beurre. Peser trois œufs, puis mesurer le même poids de sucre, de farine et de beurre.
Battre les blancs d'œufs en neige.
Fouetter les jaunes d'œufs avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Ajouter progressivement la farine tamisée et le beurre fondu. Incorporer les blancs d'œufs battus en neige. La pâte est prête.
Remplir une poche à douille muni d'un embout de 10 mm de diamètre de cette pâte et garnir les alvéoles puis toujours avec une poche à douille mais équipée d'un embout plus fin ajouter un trait de Nutella sur chaque alvéole. (Éventuellement se lécher les doigts qui sont fatalement couverts de Nutella - quand même une petite addiction).
Enfourner dans un four chaud (180°C) pendant 20 minutes. Attendre que ça refroidisse un peu avant de se jeter dessus.
Avec la pâte restante j'ai garni de petits moules à muffin en silicone de pâte, de Nutella puis encore de pâte pour avoir une autre version : les minicake fourrés au Nutella.
mardi 31 mars 2009
Carpaccio d'oranges aux éclats de noisette, à la cardamone et à la verveine citronelle
Voilà un titre bien ronflant pour des oranges coupées en tranches fines saupoudrées de cardamone et d'éclats de noisette avec de petites feuilles de verveine citronnelle pour terminer le décor.
Pour 4 personnes j'ai utilisé 5 oranges.
Tout d'abord j'ai prélevé le zeste de deux oranges, que j'ai détaillé en filaments et mis à confire dans une eau très sucrée à feu doux pendant une trentaine de minutes.
J'ai épluché les oranges à vif en récupérant le jus. Je les ai coupé en tranches très fines grâce à une mandoline (super aiguisée - attention les doigts) puis je les ai disposées joliment sur un plat en les arrosant du jus récolté pendant l'épluchage.
J'ai ensuite dessiné de petits rayons avec de la cardamone réduite en poudre (malheureusement on ne les voit pas sur les photos).
J'ai écrasé une dizaine de noisettes avec un rouleau de pâtissier pour obtenir des éclats dont j'ai recouvert les oranges. J'ai parsemé des filaments d'écorce confite puis décoré avec des noisettes entières et de petites feuilles de verveine citronnelle.
Voilà une recette simple, un dessert léger et frais.
Pour 4 personnes j'ai utilisé 5 oranges.
Tout d'abord j'ai prélevé le zeste de deux oranges, que j'ai détaillé en filaments et mis à confire dans une eau très sucrée à feu doux pendant une trentaine de minutes.
J'ai épluché les oranges à vif en récupérant le jus. Je les ai coupé en tranches très fines grâce à une mandoline (super aiguisée - attention les doigts) puis je les ai disposées joliment sur un plat en les arrosant du jus récolté pendant l'épluchage.
J'ai ensuite dessiné de petits rayons avec de la cardamone réduite en poudre (malheureusement on ne les voit pas sur les photos).
J'ai écrasé une dizaine de noisettes avec un rouleau de pâtissier pour obtenir des éclats dont j'ai recouvert les oranges. J'ai parsemé des filaments d'écorce confite puis décoré avec des noisettes entières et de petites feuilles de verveine citronnelle.
Voilà une recette simple, un dessert léger et frais.
dimanche 15 mars 2009
Dessert pour gourmand
J'ai réalisé une recette provenant du blog CUISINEZ...PASSION. C'est un dessert avec pour base un biscuit au chocolat, surmonté d'une crème prise à la vanille, elle-même recouverte d'un disque de chocolat banc rendu croustillant par l'ajout de crêpes dentelles. Par contre à servir après un repas léger. Pour le détail de la recette il faut cliquer ici.
Risotto aux pleurotes, poireaux et filet de sole
Une petite recette qui demande peu de préparation, mais avec un beau résultat en bouche.
- un gros poireau ou deux petits - 300 g de pleurotes - 300g de riz arborio (merci Emilie) - 8 petits filets de sole ou 4 gros filets de sole - sel , poivre
Laver puis émincer un blanc de poireau. Le faire revenir dans une cuillère d'huile. Ajouter le riz arborio, laisser cuire jusqu'à ce que le riz devienne translucide.
Pendant ce temps nettoyer les pleurotes, couper les plus gros champignons en deux ou trois. Les ajouter au riz. Ajouter un verre de vin blanc, puis de l'eau petit à petit jusqu'à ce que le riz soit presque cuit. Ajouter alors les filets de sole coupés en morceaux de 4 à 5 cm. Laisser encore mijoter un peu, quand le tout est cuit, il ne reste plus qu'à passer à table.
- un gros poireau ou deux petits - 300 g de pleurotes - 300g de riz arborio (merci Emilie) - 8 petits filets de sole ou 4 gros filets de sole - sel , poivre
Laver puis émincer un blanc de poireau. Le faire revenir dans une cuillère d'huile. Ajouter le riz arborio, laisser cuire jusqu'à ce que le riz devienne translucide.
Pendant ce temps nettoyer les pleurotes, couper les plus gros champignons en deux ou trois. Les ajouter au riz. Ajouter un verre de vin blanc, puis de l'eau petit à petit jusqu'à ce que le riz soit presque cuit. Ajouter alors les filets de sole coupés en morceaux de 4 à 5 cm. Laisser encore mijoter un peu, quand le tout est cuit, il ne reste plus qu'à passer à table.
dimanche 8 mars 2009
Le gâteau au chocolat de Marie-Françoise
Pour mes enfants et pour moi, c’est le gâteau au chocolat de Marie-Françoise, dont je tiens la recette de Marie-Jeanne. Pour mes nièces c’est le gâteau au chocolat de Tata Christiane. L’essayer c’est l’adopter …
200 g de chocolat noir
200g de beurre
200 g de sucre en poudre
3 œufs
3 cuillères à soupe de farine
Sur mon carnet il y a ensuite « tout mélanger, faire cuire à 180°C. »
Je vais donner quelques précisons :
Commencer par faire faire fondre le chocolat coupé en morceaux (je préfère le bain-marie au four à micro-ondes, pas de risque de faire trop cuire le chocolat, et pas besoin de rajouter d’eau – le résultat me semble plus onctueux). Pendant que le chocolat fond gentiment, préparer la suite des ingrédients : peser le beurre et le couper en morceaux, peser le sucre.
Quand le chocolat est fondu, ajouter le beurre, mélanger jusqu’à ce que le beurre soit fondu.
Puis ajouter le sucre, mélanger, ajouter les œufs l’un après l’autre, mélanger, ajouter la farine, mélanger.
Après cuisson, le gâteau aura la consistance d’un brownie et il est difficile à démouler sans le casser. Deux solutions possibles : choisir un beau plat et présenter le gâteau dans le plat ou garnir son moule de feuille de cuisson, pour ensuite sortir facilement le gâteau et le présenter sur un plat.
Le gâteau seul est très bon, mais pour l’anniversaire d’Axel je profite de mon achat récent d’un coffret découverte contenant 7 variétés différentes de vanille pour accompagner le gâteau d’une crème anglaise (au passage je récupère 5 blancs d’œufs pour de futurs macarons.)
200 g de chocolat noir
200g de beurre
200 g de sucre en poudre
3 œufs
3 cuillères à soupe de farine
Sur mon carnet il y a ensuite « tout mélanger, faire cuire à 180°C. »
Je vais donner quelques précisons :
Commencer par faire faire fondre le chocolat coupé en morceaux (je préfère le bain-marie au four à micro-ondes, pas de risque de faire trop cuire le chocolat, et pas besoin de rajouter d’eau – le résultat me semble plus onctueux). Pendant que le chocolat fond gentiment, préparer la suite des ingrédients : peser le beurre et le couper en morceaux, peser le sucre.
Quand le chocolat est fondu, ajouter le beurre, mélanger jusqu’à ce que le beurre soit fondu.
Puis ajouter le sucre, mélanger, ajouter les œufs l’un après l’autre, mélanger, ajouter la farine, mélanger.
Après cuisson, le gâteau aura la consistance d’un brownie et il est difficile à démouler sans le casser. Deux solutions possibles : choisir un beau plat et présenter le gâteau dans le plat ou garnir son moule de feuille de cuisson, pour ensuite sortir facilement le gâteau et le présenter sur un plat.
Le gâteau seul est très bon, mais pour l’anniversaire d’Axel je profite de mon achat récent d’un coffret découverte contenant 7 variétés différentes de vanille pour accompagner le gâteau d’une crème anglaise (au passage je récupère 5 blancs d’œufs pour de futurs macarons.)
La crème anglaise
Recette extraite de « la passion du chocolat « Maurice et Jean-Marc Bernachon éditions Flammarion 1985
Pour 8 à 10 personnes :
1/3 litre de lait
5 jaunes d'œufs très frais
125 g de sucre semoule
1 gousse de vanille
1 pincée de sel
Mettre dans une casserole : le lait, la gousse de vanille fendue et le sel. Porter lentement à ébullition.
Dans une autre casserole — hors du feu — déposer les jaunes d'œufs puis verser le sucre, tout en les battant vigoureusement à l'aide d'un fouet.
Verser le lait chaud, peu à peu, sur le mélange jaunes d'œufs -sucre, sans cesser de remuer.
Porter la casserole sur feu très doux. Laisser cuire à 80° sans faire bouillir, pendant 2 minutes, en remuant constamment. Dès que la crème commence à prendre consistance, c'est-à-dire à épaissir très légèrement, la retirer du feu.
Laisser refroidir, puis mettre au réfrigérateur.
En raison de sa teneur en jaunes d'œufs, il ne faut surtout pas faire bouillir la crème anglaise car celle-ci se décomposerait, autrement dit « tournerait ».
jeudi 5 mars 2009
dimanche 1 mars 2009
Macarons praliné à l’ancienne
Pour ces macarons j'ai suivi à la lettre la recette du livre « Macaron » de Pierre Hermé. Pour une fois j’ai délaissé ma recette habituelle pour une recette où les coques de macarons sont faites en utilisant un mélange de poudre d’amandes et de poudre de noisette.
La confection de la crème de praliné à l’ancienne m’a permis de faire du pralin maison (torréfier les noisettes, les faire cuire dans un sirop vanillé, les laisser refroidir puis les broyer finement au robot) et tout ça dans une bonne odeur qui se répand dans toute la maison. Ce pralin est ensuite associé à une meringue italienne et à du beurre pour faire cette crème très onctueuse et très savoureuse.
Les macarons terminés ont eu besoin de 3 jours avant que l’intérieur des coques ne devienne moelleux.
Il reste les photos pour le résultat, et deux boîtes de macarons au congélo. Il me reste aussi les sourires et les "huuuummmm" de ceux qui ont goûtés ces macarons. Pour des avis gustatifs plus fournis, j’attends les commentaires.
La confection de la crème de praliné à l’ancienne m’a permis de faire du pralin maison (torréfier les noisettes, les faire cuire dans un sirop vanillé, les laisser refroidir puis les broyer finement au robot) et tout ça dans une bonne odeur qui se répand dans toute la maison. Ce pralin est ensuite associé à une meringue italienne et à du beurre pour faire cette crème très onctueuse et très savoureuse.
Les macarons terminés ont eu besoin de 3 jours avant que l’intérieur des coques ne devienne moelleux.
Il reste les photos pour le résultat, et deux boîtes de macarons au congélo. Il me reste aussi les sourires et les "huuuummmm" de ceux qui ont goûtés ces macarons. Pour des avis gustatifs plus fournis, j’attends les commentaires.
Jaunes d'oeufs
Voici quelques recettes (trouvées sur le net) pour utiliser les jaunes d'oeufs :
Ce message sera complété au fur et à mesure de mes découvertes. J'ajouterai aussi mes remarques sur les recettes testées. N'oublier pas de congeler les blancs d'oeufs quand dans une recette vous n'utiliser que les jaunes (exemple : dorer les feuilletés de sole)
Petites galettes bretonnes
Délicieux petits pots de crème vanillée aux oeufs
Sablés bretons de très bon gâteaux, mais qui hélas ne se conservent pas longtemps en présence de gourmands
Tarte-flan au caramel 4 jaunes d'oeufs
Ce message sera complété au fur et à mesure de mes découvertes. J'ajouterai aussi mes remarques sur les recettes testées. N'oublier pas de congeler les blancs d'oeufs quand dans une recette vous n'utiliser que les jaunes (exemple : dorer les feuilletés de sole)
Petites galettes bretonnes
Délicieux petits pots de crème vanillée aux oeufs
Sablés bretons de très bon gâteaux, mais qui hélas ne se conservent pas longtemps en présence de gourmands
Tarte-flan au caramel 4 jaunes d'oeufs
Curry de chou-fleur
Pour cette recette j’ai regardé l’heure et montre en main, entre le moment où j’ai sorti le chou-fleur de la réserve et le repas, il y a eu une trentaine de minutes (je sais ma montre est spéciale et pas très précise).
Ingrédients :
- un oignon
- une cuillère à café bombée (ou plus) de curry
- du chou-fleur (et oui, sinon c’est plus du chou-fleur au curry)
L’originalité de la recette est dans la préparation du chou-fleur. Après l’avoir lavé et séparé en gros bouquet, je le coupe en lamelles avec une mandoline, ce qui permet une cuisson plus rapide qui conserve le croquant du chou-fleur mais permet aussi son imprégnation en curry.
Sinon, comme pour la plupart des curry, on commence par faire chauffer le curry dans un peu d’huile puis on fait dorer les oignons, on ajoute ensuite le chou-fleur coupé en lamelles. On mélange bien le tout, il faut ajouter un peu d’eau et laisser mijoter environ 10 minutes (ajouter un peu si nécessaire). Voilà c’est prêt ! J’ai encore oublié le sel.
Ingrédients :
- un oignon
- une cuillère à café bombée (ou plus) de curry
- du chou-fleur (et oui, sinon c’est plus du chou-fleur au curry)
L’originalité de la recette est dans la préparation du chou-fleur. Après l’avoir lavé et séparé en gros bouquet, je le coupe en lamelles avec une mandoline, ce qui permet une cuisson plus rapide qui conserve le croquant du chou-fleur mais permet aussi son imprégnation en curry.
Sinon, comme pour la plupart des curry, on commence par faire chauffer le curry dans un peu d’huile puis on fait dorer les oignons, on ajoute ensuite le chou-fleur coupé en lamelles. On mélange bien le tout, il faut ajouter un peu d’eau et laisser mijoter environ 10 minutes (ajouter un peu si nécessaire). Voilà c’est prêt ! J’ai encore oublié le sel.
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